Sylvie Retailleau Mari – Sylvie Retailleau, physicienne de Nice, France, est née le 24 février 1965 sous le nom de Sylvie Galdin. L’ENS de Cachan, où elle étudie la physique appliquée, lui décerne une agrégation en 1988 avant de terminer sa thèse en 1992. A l’Institut d’Electronique Fondamentale (IEF) de Paris Sud/CNRS, Sylvie Retailleau a débuté sa carrière.
Elle est devenue professeur à l’Université Paris-Sud après avoir terminé sa thèse (Paris-Saclay). Elle a ensuite été vice-présidente du département de physique de la faculté des sciences d’Orsay de 2007 à 2008. Sylvie Retailleau a été vice-doyenne chargée de la formation de 2008 à 2011, puis doyenne de la faculté de 2016 à 2017.
Présidente de l’Université Paris-Saclay a été choisie en 2020. Suite à sa nomination dans le gouvernement d’Élisabeth Borne, sa carrière universitaire, qui était principalement axée sur la recherche scientifique, a pris une nouvelle dimension. Sa nomination au poste de ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche a été annoncée par le premier ministre le 20 mai 2022.
Changer la façon dont les bourses sont distribuées en fonction des besoins figure en tête de liste des objectifs de l’organisation. Dans sa vie personnelle, elle est mariée au professeur Stéphane Retailleau. Il n’est pas clair si Sylvie Retailleau est liée au sénateur des Républicains Bruno Retailleau.
C’est le 20 mai 2022 que Sylvie Retailleau est devenue ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Après Frédérique Vidal, en poste depuis mai 2017, elle prend la relève. Lorsqu’elle prendra ses fonctions de présidente en février, elle aura été présidente de la Comue Université Paris-Saclay du 2 janvier au 31 décembre 2019.
En janvier 2021, elle est élue présidente de la commission recherche et innovation de la CPU (Conference of University Presidents). Cela fait plus d’un an qu’elle a été désignée pour représenter l’Observatoire national de l’insertion professionnelle (Onip). Pendant trois ans, de mai 2016 à décembre 2018, Sylvie Retailleau a été doyenne de la faculté des sciences d’Orsay.
Sylvie Retailleau est une ancienne élève de l’ENS Cachan et a obtenu son agrégation et son doctorat à l’Université Paris-Sud en 1988 et 1992, respectivement. Elle est maître de conférences à l’Université Paris-Sud depuis 2001. Elle a été responsable du master IST (information, systèmes, technologies) et de l’opération de recherche à l’université jusqu’en 2008.
Depuis sa création en janvier 2002, l’Institut d’électronique fondamentale travaille sur les composants quantiques intégrés pour la nanoélectronique. De 2007 à 2008, elle a été vice présidente du département de physique et de 2008 à 2011, elle a été vice-doyenne du département de formation.
Elle a également été directrice du pôle microélectronique du CNFM (Centre National de Formation en Micronanoélectronique) de 2004 à 2016. Le conseil scientifique de l’ENS Cachan, le conseil d’école de Télécom ParisTech et la direction du lycée Blaise-Pascal d’Orsay la comptent parmi leurs membres depuis 2013.
Sylvie Retailleau a également siégé au conseil d’administration de la Comue Université Paris Saclay de 2015 à 2018 en tant que membre suppléant du président de l’Université Paris Sud. Les études de physique des semi-conducteurs pour l’électronique avancée sont au cœur de ses travaux à l’IEF (Institut d’Électronique Fondamentale, Université Paris Sud/CNRS).
De nombreuses surprises sont en réserve pour la prochaine administration. Sylvie Retailleau, directrice de l’université Paris-Saclay et nouvelle ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, n’a aucun lien avec LR Bruno Retailleau. L’ancienne présidente de l’Université de Nice Antipolis, Frédérique Vidal, nommée par le président Emmanuel Macron en 2017, est sa prédécesseure.
Cette physicienne de 57 ans a consacré toute sa vie professionnelle au domaine de l’éducation. Maître de conférences en sciences physiques à l’Université Paris Saclay, ce chercheur en physique des composants a été nommé président début 2020. Le classement de Shanghai a classé cette institution comme la 14e meilleure université au monde, ce qui en fait la meilleure de France.
Au cours de son mandat, elle accueillera Présidents de la République, Ministres, personnalités commerciales et académiques. Pendant longtemps, il a été considéré comme un ministre potentiel par de nombreux membres de son entourage. “L’État ne la laissera pas partir à cause de son talent”.
Jacques Bittoun, l’ancien président de Paris Sud, projetait en 2020 que s’il était président de la République, il l’appellerait immédiatement pour lui donner un cabinet. Un concept qui la faisait sourire sur le moment. Les choses commenceront à devenir réelles à partir de maintenant.
Ancien président de l’université Paris Sud, cet universitaire a longtemps été un supporter du PSG Paris Saclay. Au 2 mars, lorsqu’elle a été élue à la tête de l’organisation, celle-ci s’était hissée à la 14e place du classement de Shanghai. Son problème actuel est de faire travailler le nouveau groupe de 60 000 étudiants et chercheurs, pris dans le chaos du coronavirus.
ncG1vNJzZmillZm2or%2FCnqOemqKawG%2BvzqZmrLGcq7amedGeq5qhnKGyosGMppiroV8%3D