Rachel Binhas Wikipedia – La journaliste et reporter Rachel Binhas contribue à MarianneleMag et LEXPRESS.Aucune information sur son autre travail ou sa vie personnelle n’a pu être localisée.
Wikipédia Journaliste Rachel Binhas
Rachel Binhas est une journaliste bien connue, mais l’histoire de sa vie est absente de Wikipedia.Sa biographie n’a pas encore été publiée sur les sites Web des principaux médias, y compris Wikipedia.Donc, obtenir des informations d’elle à l’heure actuelle est difficile.
De plus, son compte Twitter a montré qu’elle est journaliste pour des publications comme @MarianneleMag et @LEXPRESS, entre autres.Mais à part ça, nous manquons effectivement d’informations sur sa vie privée car elle est absente des moteurs de recherche.
Binhas n’a pas encore fourni d’informations sur ses parents.Nous n’avons pas pu obtenir d’informations sur ses parents, y compris leurs noms et âges, ou sur ses frères et sœurs.
Étant donné que très peu de sa biographie peut être localisée en ligne, elle semble être quelqu’un qui préfère garder sa vie privée, enfin, privée.
Ni son état civil ni l’existence d’autres personnes importantes n’ont été confirmés par les déclarations publiques qu’elle a faites.Il est donc possible, compte tenu des preuves, qu’elle soit célibataire ou qu’elle essaie de garder secret son statut romantique.
La trame de fond du nom de Rachel Binha
Nous savons très peu de choses sur son passé ou d’où elle vient, bien qu’elle soit une journaliste française, donc la France pourrait être d’où elle est originaire.Nous mettrons absolument à jour dès que possible si elle confirme quoi que ce soit dans un proche avenir.
Il n’y a pas de compte Instagram associé au nom ou à l’adresse e-mail de Rachel, elle n’utilise donc pas actuellement la plateforme.Nous avons localisé un hashtag utilisant son nom, mais il n’y avait qu’un seul message. Binhas, cependant, compte plus de 2 500 abonnés et a publié 1 189 tweets sur son compte.
Sous le pseudo @RachelBinhas, elle a suivi 899 autres utilisateurs.Et en septembre 2017, elle a rejoint la plateforme de médias sociaux Twitter.La biographie du journaliste indique que le blocage équivaut à une insulte ou à de l’hostilité. Cela pourrait suggérer qu’insulter quelqu’un entraînera un blocage.
Un documentaire sur l’antisémitisme moderne, dont celui des ONG pro-palestiniennes, a été retiré de la programmation d’une chaîne de télévision franco-allemande.Cette polémique a eu son cours, et Arte devrait passer à autre chose. La nouvelle tombe le 1er juin 2017 lorsque l’écrivain Luc Rosenzweig la publie sur le site Causeur : le responsable de la programmation de la chaîne.
Alain Le Diberder, avait décidé de ne pas diffuser un documentaire produit et financé par la chaîne franco-allemande. Le documentaire de 90 minutes de Joachim Schröder et Sophie Hafner, “Un peuple élu et mis à part : L’Antisémitisme en Europe” dans sa version originale allemande (les Français avaient choisi un titre plus neutre.
“Les nouveaux visages de l’antisémitisme” ), a été approuvée en avril 2015 par la Conférence des programmes d’Arte, composée à parité de représentants des branches allemande et française du réseau.Cette justification, comme le dit Luc Rosenzweig, “s’était heurtée d’emblée à l’opposition d’Arte France qui avait subodoré que le contenu du documentaire n’était pas conforme à la ligne éditoriale de.
Il est clair qu’Arte préfère s’attacher à dénoncer l’antisémitisme d’extrême droite plutôt qu’enquêter sur le phénomène dans les banlieues françaises, notamment au sein des communautés arabes et musulmanes, qui se cache derrière l’étiquette plus acceptable d’« antisioniste » dans les médias.
Malgré le silence d’Arte, l’enjeu de l’annulation brutale du documentaire n’est pas passé inaperçu outre-Rhin. Le journal le plus lu d’Allemagne, Bild, s’est non seulement prononcé contre la censure d’Arte, mais a également décidé de publier une copie de la vidéo sur son site Internet (sans obtenir l’approbation d’Arte au préalable).
Causeur, un site Web français, a également hébergé le scénario français du documentaire censuré.L’hebdomadaire Valeurs Actuelles, qui a été abondamment cité dans la polémique, a également vu l’intégralité du reportage.
Les cinéastes montrent aux médias occidentaux des choses inhabituelles, telles que “les montants disproportionnés des subventions palestiniennes”, “la corruption des ONG et des agences en Ukraine”, “le sort des réfugiés juifs” et “la montée de l’antisémitisme criminel en France”. “
La réplique de l’art
Arte a finalement répondu après plusieurs jours par un communiqué.Le réseau culturel franco-allemand nie toute forme de “censure”, mais soutient que le documentaire n’est pas à la hauteur de sa facturation initiale.
Arte affirme qu’elle n’a pas été informée que l’image s’était “considérablement” éloignée de sa prémisse d’origine lors de la production. Prétendre que le film a été rejeté pour des considérations politiques est “parfaitement absurde”, comme l’écrit ARTE dans un communiqué.
La proposition acceptée par la Conférence des programmes prévoyait expressément, conformément à la ligne éditoriale d’ARTE, chaîne européenne, de traiter de l’antisémitisme masqué derrière la critique d’Israël, et ce non pas au Proche-Orient, mais en Europe. verse chaque année 100 millions d’euros à des ONG politiques connues pour mener des campagnes anti-israéliennes.”
Décryptage
Pourtant, tout le monde en Israël et en Europe est conscient des dizaines de millions d’euros de financement qui ont été acheminés par divers canaux européens vers des groupes anti-israéliens. De nombreux articles sur le sujet ont paru dans la presse israélienne. Et les Européens craignent que le gouvernement israélien ne veuille mettre un peu d’ordre et de transparence dans le financement d’une propagande fondamentalement antagoniste à Israël.
Le documentaire “Un peuple élu et mis à part : L’Antisémitisme en Europe” semble aller à contre-courant de la ligne éditoriale d’Arte, c’est certain. La chaîne culturelle franco-allemande affiche une indifférence obstinée à l’information qu’elle diffuse, préférant porter un jugement sur l’affaire elle-même.
Arte ne fait pas preuve d’autant de prudence lorsqu’il diffuse des histoires vraiment positives envers les Palestiniens.InfoEquitable vient à nouveau de mettre en garde ses lecteurs contre les documentaires diffusés sur Arte qui relèvent plus de la propagande anti-israélienne que du reportage neutre.
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